Catégories : Hommes fessés
il y a 2 ans
J’étais en route, avec ma mère, pour nos traditionnelles vacances à Royan lorsqu’elle a brusquement suggéré.
- Et si on passait chez tante Odile vite fait ? Ça ferait pas un grand détour. Et tu verrais tes cousines comme ça. Depuis le temps…
Il n’y avait que Floriane.
- Oui, oh, Mélodie, elle, elle est toujours par monts et par vaux. Bon, mais allez jouer dehors, les enfants ! Allez jouer ! On a à parler toutes les deux.
On est allés à la balançoire. Elle s’est assise sur la planchette, jambes relevées, tête baissée.
- Et si tu restais ?
- Si je restais ?
- Ben, oui, ici, avec moi. Pour les Vacances.
- Elle voudra jamais, ma mère.
- T’en sais rien, t’as même pas demandé.
- Oui, mais j’irai pas à Royan alors…
- Tu t’en fous de Royan. T’y vas tous les ans.
Elle a fait plusieurs tours sur elle-même en prenant appui par terre avec les pieds. Les cordes se sont entortillées l’une sur l’autre.
- T’es pas marrant. Je m’emmerde, moi, ici, toute seule.
Elle a lâché, fermé les yeux. Ça a tourné à toute allure, dans un sens, puis dans l’autre.
- Tu sais quoi ?
C’est reparti à l’envers.
- Eh ben, Mélodie, elle lui donne la fessée des fois, ma mère.
- Mélodie ! Je te crois pas. Elle est bien trop grande. On te le fait plus à quinze ans.
Elle a haussé les épaules.
- Elle, si ! Et souvent en plus !
- Toute nue ?
- Ben, oui ! La culotte en bas, ça, forcément ! C’est pas une vraie fessée sinon.
Ma mère a d’abord dit non. Qu’on s’était juste arrêtés comme ça en passant. Et que c’était pas la peine d’insister parce qu’elle avait pas pris les bonnes affaires pour rester. Et que, de toute façon, pas question d’embêter tante Odile.
- Mais il m’embête pas ! Et puis, après ce que tu m’as raconté tout à l’heure, si tu veux être tranquille, tu crois pas que ce serait mieux, non ? Pour lui aussi d’ailleurs ! Il jouera avec Floriane. À leur âge, ce sont plus des bébés. Il y a pas besoin d’être sans arrêt derrière leur dos.
Mélodie a fait son apparition dans l’encadrement de la porte.
- D’où tu sors, toi, encore ?
Elle a dit bonjour du bout des lèvres, aussitôt filé vers l’escalier.
- Et allez ! Elle va s’enfermer dans sa chambre jusqu’à ce soir. Ah, je peux te dire qu’elle m’en fait voir, celle-là. Et que j’ai intérêt à la visser si je veux pas que ça tourne à la catastrophe.
Ma mère s’est levée.
- Bon. Je te le laisse alors… Tu seras sage, toi, hein, tu me promets.
Et je suis resté.
L’après-midi, on sortait les vélos de la petite remise derrière la maison et on faisait la course jusqu’au lac. Elle triomphait.
- Je t’ai eu !
- Évidemment ! Tu zigzagues pour m’empêcher de doubler.
- Bon, on va se baigner ?
Elle allait enfiler son maillot derrière le grand tas de bois.
- Mais tu regardes pas, hein !
Et on nageait en grandes éclaboussures jusqu’à l’île au milieu du lac. On s’allongeait au soleil et on reprenait lentement notre souffle.
- C’est quand qu’elle va lui faire, tu crois ?
- Lui faire quoi ? À qui ?
- À Mélodie. Lui donner la fessée.
- Qu’est-ce que tu veux que j’en sache ?
- C’est quand elle fait quoi qu’elle lui donne d’habitude ?
- Ça dépend. Quand elle répond. Ou à cause des garçons. D’autres trucs aussi. Bon, mais allez, on s’en fout d’elle. Le premier de l’autre côté.
Chaque jour j’espérais que ce serait enfin celui-là. Que Mélodie allait enfin la recevoir, cette fessée tant attendue. Quand ça se mettait à crier en haut, dans sa chambre, mon cœur s’élançait furieusement dans ma poitrine. Ça y était. Ça allait y être. Ça continuait à crier jusque sur le palier.
- Mais lâche-moi ! Lâche-moi ! J’en ai marre, mais marre… Ce que j’en ai marre…
Une porte claquait. Ça tambourinait dessus.
- Ouvre-moi, Mélodie ! Ouvre-moi immédiatement. Je te préviens. Si tu n’ouvres pas…
- Merde !
Elle allait la recevoir, là. Elle allait forcément la recevoir. Elle ne la recevait pas.
- Elle lui fera pas. Elle lui a jamais fait, hein, en fait.
On était assis au bord de la route, nos vélos posés à plat dans l’herbe à nos côtés.
- C’est ça ! Traite-moi de menteuse tant que tu y es !
- Mais non, mais t’avais dit que…
- Bon. On fait quoi ?
- On va au lac ?
- C’est nul, à force, le lac.
Elle a ramassé un caillou sur le tas pour la neige l’hiver.
- Si on construisait une cabane ?
Elle a haussé les épaules.
- Une cabane ! Et puis quoi encore ?
Elle l’a passé d’une main dans l’autre, jeté loin devant elle.
- T’as jamais d’idées. C’est pas la peine que tu sois resté.
D’autres cailloux. Plein. Le plus loin possible.
- Je m’emmerde encore plus quand t’es là.
J’ai voulu savoir.
- Et à toi ? Elle te le fait à toi des fois ?
- À moi ? Oh non, non… Jamais ! Ça va pas. Et puis quoi encore ?
Elle s’est brusquement ravisée.
- Enfin, si, des fois quand même ! Mais alors faut vraiment que ce soit une grosse bêtise. Une très très grosse bêtise.
- Quoi par exemple ?
Elle a hésité un long moment.
- Par exemple si je bousillais les serres du père Mercier, là, en bas, à grands coups de cailloux.
Elle a froncé les sourcils, paru réfléchir.
- Tu sais ce qu’on pourrait ? C’est que tu le fasses. Que t’en jettes des cailloux sur les serres. On dira que c’est moi. Et tu me verras recevoir la fessée comme ça.
J’ai cherché son regard, incrédule.
- Que je…
- Eh ben quoi ? T’as peur ? On dira que c’est moi, j’te dis !
- Elle te la donnera, t’es sûre ?
- Ben évidemment, tu parles !
J’ai ramassé un caillou. J’ai visé. C’est tombé en plein milieu avec un claquement sec. Un autre. Un autre encore. Ah, j’y allais de bon cœur ! Toutes les serres les unes après les autres. Ça éclatait de partout en faisant des tas de trous. Assise au bord du talus, Floriane regardait, sans un mot, la robe légèrement remontée sur les cuisses. Le père Mercier a surgi de nulle part en bas, avec de grands gestes désarticulés et impuissants dans notre direction.
Au retour, tante Odile nous attendait, la mine sévère, sur le pas de la porte. Elle m’a giflé.
- Ah, ben bravo ! Bravo ! T’es fier de toi ?
- C’est pas moi !
- C’est ça ! Aggrave bien ton cas !
- Non, c’est pas moi. C’est elle qu’a voulu que je…
- Et menteur avec ça ! Il t’a vu le père Mercier. Il t’a vu. Et qui c’est qui va le rembourser, hein, maintenant, tu peux me dire ?
Encore une gifle.
- Non, mais qu’est-ce que t’as dans la tête ? Ah, elle va être contente ta mère ! Elle va être contente quand elle va savoir ça ! Oh, mais je vais te remettre les idées en place, moi, tu vas voir !
Furieuse, elle m’a attrapé par un bras. A tiré d’un coup sec sur mon short. Qui est descendu jusqu’en bas, en même temps que le slip. Elle m’a poussé – projeté – à plat ventre au milieu des coussins. Tout juste le temps de croiser, très vite, mort de honte, le regard imperturbable de Floriane, celui, amusé et ironique, de Mélodie attirée par le vacarme et ça s’est abattu à toute allure sur mon derrière. Une fessée interminable. Vigoureuse. Bien claquante. Bien brûlante. J’ai crié. J’ai gigoté. J’ai battu des jambes. J’ai demandé pardon. Je l’ai suppliée en vain d’arrêter. J’ai pleuré. J’ai sangloté. Rien à faire. Il a bien fallu toutefois que ça finisse par s’arrêter. Je me suis un peu frotté les fesses et puis je me suis empressé de me reculotter en me tortillant et en grimaçant. Floriane m’a tranquillement regardé faire.
- Bon, allez, tu viens jouer maintenant ?
- Sûrement pas, non !
Tante Odile est aussitôt intervenue.
- Ah, non ! Tu vas pas faire ta mauvaise tête ! En plus ! Fais attention, Lionel ! Fais bien attention ! Je ne le répéterai pas.
Alors on est retournés à la balançoire. Elle s’est assise dessus, comme le jour où j’étais arrivé, a tourné plusieurs fois sur elle-même, a encore fait s’entortiller les cordes.
- Comment elle t’a mis le cul rouge, n’empêche ! Et comment t’as piaulé !
Elle a eu un petit rire moqueur.
- C’est ta faute n’importe comment ! T’avais qu’à pas avoir envie de me voir toute nue.
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